Témoignages

J'ai trente-quatre ans et j'ai exercé un ministère à plein temps pendant treize ans. Pendant sept ans, mon mari et moi avons été pasteurs d'une église urbaine à Chicago. Nous avons animé des études bibliques, des séminaires, des enseignements, des formations et des campagnes d'évangélisation. Nous avons vu des gens être sauvés, baptisés, remplis du Saint-Esprit et suivre des cours de formation de disciples. Cependant, nous n'avons vu que très peu de fruits durables.

Il y a quelques mois, je regardais un sermon de Joseph Prince. À cette époque, j'étais un peu déprimée et je me sentais seule. Vers la fin de son message, Joseph a commencé à prophétiser la guérison, et ce qu'il a dit a retenu mon attention. Il a dit que le Seigneur voulait guérir quelqu'un qui s'inquiétait de perdre des poignées de cheveux chaque jour, et il a prié pour que son cuir chevelu soit guéri.

Il y a environ 18 mois, j'ai perdu mon petit ami dans un accident. Lorsque j'ai appris son décès, j'ai fait une dépression nerveuse. J'avais l'impression de ne plus pouvoir respirer ni bouger quoi que ce soit dans mon corps. Quand je suis arrivée chez moi, je suis allée directement au lit pour lire ma Bible, mais tandis que j’étais en train de la lire, je l'ai jetée à travers la pièce en criant : « Comment Dieu peut-il laisser mon petit ami mourir ? » À partir de ce moment-là, j'ai cessé de croire en Dieu, même si j'ai grandi dans un foyer chrétien et que je connaissais tous les miracles que Dieu avait accomplis.

Nous avons commencé à écouter Joseph Prince il y a 10 ans. À l'époque, ma fille aînée avait accouché à 24 semaines, mais le bébé n'a vécu que 3 jours. C'était la chose la plus difficile que notre famille ait eu à traverser.

En mai 2019, j'ai entendu le pasteur Prince prêcher un sermon dans lequel il mentionnait spécifiquement qu’un auditeur connaîtrait une percée concernant son infertilité au cours de l'année suivante. À l'époque, mon mari et moi étions mariés depuis près de 13 ans et n'arrivions pas à concevoir.

Il y a un mois, ma fille a été licenciée. Mon mari avait également été informé, au début de l'année, que l'entreprise dans laquelle il travaillait allait fermer ses portes. Je suis également sans emploi en raison d'une blessure dans le bas du dos. Notre avenir était sombre et je m'inquiétais de savoir comment nous allions pouvoir payer nos factures.

On m'a diagnostiqué une infection à streptocoque (une bactérie qui provoque des troubles tels que l'angine streptococcique, la pneumonie et l'infection du sang) et je souffrais de douleurs insupportables à la tête, aux mains et aux pieds.

Au début de l'année dernière, je me suis réveillée un matin et je n'arrivais pas à ouvrir la bouche. Lorsque j'essayais de le faire, j'entendais un « claquement ». J’avais beaucoup de difficultés à me brosser les dents, à manger et même à bailler.

En 2008, les médecins ont découvert sept grosseurs dans mon sein gauche et une dans mon sein droit. Heureusement, elles étaient bénignes. En 2012, le nombre de grosseurs sur le côté gauche est passé à 8. On m'a conseillé de faire un suivi 6 à 12 mois plus tard. Peu de temps après, nous avons accueilli notre premier enfant et j'ai donc ignoré le conseil du médecin de faire un suivi. Je ne l’ai pas fait non plus par peur.

J'ai soixante-sept ans et j'avais du mal à me souvenir des noms, comme ceux des stars de films en vogue. J'avais même du mal à trouver les mots justes pour m'exprimer et je craignais que ce soit le début de problèmes de mémoire.

En grandissant, mon fils, Zachary, avait un retard de langage, était violent, avait des absences pendant des heures et ne faisait qu'une seule chose toute la journée. Parfois, il n'était pas très coopératif.