Parlez et entrez dans l’approvisionnement de Dieu (partie 1/3)

Croire et dire les promesses de Dieu

C’était un matin comme les autres. Michael, l’un des membres de ma communauté, venait de déposer son plus jeune fils à l’école maternelle après l’avoir embrassé sur la joue, et se frayait un chemin dans la circulation de l’heure de pointe pour se rendre à son travail. Le sol était rempli d’une foule grouillante d’automobilistes impatients d’arriver à destination.

Michael écoutait sa station de radio préférée comme d’habitude, lorsqu’il s’est soudain senti poussé à parler de la faveur et de la protection de Dieu sur sa famille. Il s’est souvenu du message que j’avais prêché le dimanche précédent sur les confessions positives et pleines de foi. Il a donc éteint la radio et a commencé à déclarer à haute voix : « Aucune arme formée contre nous ne prospérera. Aucun mal ne s’approchera de notre demeure. Nous sommes bénis dans nos entrées et nos sorties parce que la faveur de Dieu nous entoure comme un bouclier ! »

À ce moment-là, Mavis, la femme de Michael, conduisait leur fils aîné, Matthew, âgé de six ans, à l’école. Il était assis à côté d’elle sur le siège passager avant, écoutant tranquillement l’un de mes messages sur CD. Soudain, Mavis sentit son corps bondir vers l’avant tandis que le bruit épouvantable d’un métal qui s’écrase sur un autre métal se répandait dans l’air. Une voiture en excès de vitesse avait percuté l’arrière de leur véhicule avec une telle force que la voiture s’était retournée et tournait de façon incontrôlable sur la route encombrée. Alors que son monde est littéralement bouleversé, Mavis se raccroche à un seul nom et le crie encore et encore : « Jésus ! Jésus ! Jésus ! Jésus ! Jésus ! »

Lorsque la voiture s’est finalement immobilisée, ils se sont hissés avec précaution hors des débris de la voiture, complètement indemnes. Au milieu des dégâts et du chaos d’un terrible accident impliquant deux autres véhicules, Mavis et le petit Matthew se tenaient sur le bord de la route, enveloppés dans la paix de leur Sauveur. Ils s’étaient littéralement tirés d’un accident potentiellement mortel sans la moindre égratignure ! Les passants qui s’étaient précipités à leur secours étaient stupéfaits de constater qu’ils étaient miraculeusement indemnes. Alors que mon message sur la grâce du Seigneur retentissait encore en arrière-plan du véhicule renversé, Mavis a instinctivement commencé à témoigner de la bonté et de la fidélité du Seigneur auprès d’étrangers inquiets.

Alléluia, toute la gloire est à Jésus pour Sa faveur et Sa protection sur cette famille ! Rien n’aurait pu préparer la mère et l’enfant à ces moments terrifiants. Et rien n’aurait pu être plus puissant ou plus opportun pour activer la protection du Seigneur sur ce couple précieux que le nom de Jésus crié avec foi, ainsi que ces puissantes paroles de protection inspirées par Dieu et prononcées par Michael, qui se trouvait à l’autre bout de la ville et n’avait aucune idée de ce qui venait de se passer.

Je remercie Dieu d’avoir préservé les précieuses vies de Mavis et Matthew. Ils auraient pu être tués ou gravement blessés, mais Jésus les a sauvés. Et je ne doute pas que les paroles de Michael, guidées par l’Esprit, aient joué un rôle dans l’activation de la protection en temps opportun du Seigneur sur sa famille.

Mon ami, je partage ce témoignage avec vous pour souligner l’importance de parler ou de déclarer les bénédictions que nous avons déjà en Christ. Dieu fournit constamment la grâce, la santé, la protection, la délivrance, et tout ce dont vous avez besoin dans la vie à cause de l’œuvre achevée de Jésus. Ici, je veux partager avec vous comment vous pouvez puiser dans la réserve qui est déjà disponible pour vous, afin que vous puissiez expérimenter ces bénédictions dans votre vie dans une plus grande mesure.

Au fil des ans, alors que je prêchais et enseignais sur le sujet de la foi, le Seigneur m’a montré que de nombreux croyants n’expérimentaient pas les percées qu’ils souhaitaient, parce qu’ils ne parlaient pas de ce qu’ils croyaient au sujet de la Parole, mais de ce qu’ils voyaient, ressentaient et expérimentaient dans leurs circonstances. Par exemple, alors que de nombreux chrétiens croient qu’ils sont guéris par les meurtrissures de Jésus, ils ne parlent pas en accord avec cette vérité. Souvent, ils parlent de leurs symptômes et de ce qu’ils ressentent : « Ce mal de tête me tue », « Je me sens très mal aujourd’hui. Je savais que j’attraperais la grippe de mon collègue. » D’autres souffrent en silence, littéralement. Ils ne disent rien, ni en bien ni en mal, parce qu’ils se sont résignés à la situation négative.